Deux nouveaux projets émanant du Conseil des ingénieurs en chef de l’ATC sont en cours de développement. Les organisations qui souhaitent faire une contribution financière et se joindre au comité directeur qui supervisera la réalisation d’un projet peuvent communiquer avec Sarah Wells.
Lignes directrices pour l’utilisation des tableaux d’affichage de la vitesse
Les dispositifs d’affichage en temps réel de la vitesse sont employés à de nombreux endroits au Canada. Ils permettent aux conducteurs de voir leur vitesse, habituellement affichée à côté du panneau de la limite de vitesse.
Ils sont destinés à faire prendre conscience aux conducteurs de la vitesse à laquelle ils conduisent leur véhicule. On a pu constater qu’ils sont efficaces et qu’ils commencent à donner des résultats peu de temps après leur installation. Cependant, certains dispositifs employés sur le terrain constituent une source de distraction trop grande et risquent de ne pas atteindre leur objectif. La conception et l’utilisation des tableaux d’affichage de la vitesse ne font présentement l’objet d’aucune ligne directrice de l’ATC.
Le Comité permanent des techniques et de la gestion de la circulation de l’ATC a proposé la réalisation de ce projet visant à examiner les dispositifs d’affichage de la vitesse actuellement offerts sur le marché et à faire enquête parmi les organismes responsables pour connaitre les pratiques existantes ou les lignes directrices concernant ces dispositifs.
Dans un deuxième temps, le projet consistera à établir les pratiques exemplaires et à élaborer des lignes directrices pour la conception et l’utilisation des dispositifs d’affichage de la vitesse.
Des murs de terre stabilisée mécaniquement ont été construits au Canada pendant les dernières décennies. Leurs propriétaires s’inquiètent de plus en plus de leur responsabilité en ce qui a trait à la conception structurelle et géotechnique, à la composition, aux inspections en cours de construction ainsi qu’à la gestion et aux réparations. Il n’existe pas actuellement, au Canada, une autorité chargée d’établir un code en réponse à ce questionnement, et les propriétaires se fient beaucoup à des sources d’information étrangères pour savoir à quoi s’en tenir.
L’objectif de ce projet, proposé conjointement par le Comité permanent des ouvrages d'art et celui des sols et des matériaux, est de collaborer avec les propriétaires, les concepteurs et les partenaires de l’industrie pour préparer une synthèse des lignes directrices portant sur le choix des matières de remplissage, sur les études et la conception géotechniques, sur la conception structurelle, sur les inspections des travaux de construction sur la gestion globale du mur et sur les procédures de réparation pendant le cycle de vie du mur.
On définira également les responsabilités en matière de fabrication, d’installation, de géotechnique et de drainage, d’objectifs de rendement à long terme et de coûts sur la durée du cycle de vie.
Un examen des codes, des manuels de conception des murs, des guides et des pratiques employées sera réalisé, ainsi que des études, afin de déterminer les questions sur lesquelles il sera utile de se pencher et d’élaborer une synthèse illustrée d’exemples des pratiques exemplaires et des pratiques les moins recommandables.
Les principaux résultats escomptés au terme de ce projet sont une synthèse des pratiques exemplaires de même que des lignes directrices formulées par les experts et l’industrie de la géotechnique et de la conception des structures. Subséquemment, il serait possible d’entreprendre l’élaboration d’un guide national de conception et de construction des murs de terre stabilisée mécaniquement.
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